Viktor Frankl rapporte : ” Nous, qui avons vécu dans les camps de concentration, nous nous souvenons de ceux qui allaient à travers le camp, réconfortant les autres, donnant jusqu’à leur dernière miette de pain. Ils ont été peu nombreux, mais ils ont suffi à prouver que l’on peut tout prendre à un homme sauf une chose, la dernière de ses libertés: le choix de son attitude devant un ensemble de circonstances, le choix de sa propre voie ” (Man’s Search for Meaning, 1985, p. 86).
Réfléchissons un peu …
Si vous lisez cette chronique devant ton ordi au travail – C’est que vous êtes béni d’avoir encore un travail pendant cette période de crise si précaire.
Si vous lisez cet article toute seule chez vous – C’est que vous bénéficiez des moyens de confort pas encore standard dans 60 % du monde (c’est-à-dire logement, canapé, ordinateur, accès internet).
Si vous lisez ce blog chez ta famille ou bien chez un ami – C’est que vous avez encore de la chance d’être entouré par des personnes proches qui vous soutiennent.
Qui sommes nous, avec nos soucis, et angoisses ? Et j’ai honte en face des amis de Docteur Frankl qui donnent honneur à la race humaine.
Si vous sentez seul et désepéré dans une ville de 12 millions d’habitants. Rassurez-vous ce n’est pas parce que vous faites pas effort ! Au contraire, ce n’est pas le nombre de gens qui nous entourent qui impacte notre solitude. La solitude est une mesure interne d’abord, développé selon sa confiance en, et sa satisfaction avec soi. Je connais un Dieu renouveleur. Retrouvez le sens de la vie. Retrouvez un Dieu qui est satisfait avec vous, tel que vous êtes, et vous trouverez une âme libre des pressions et prête à l’emploi d’un monde meilleur.